
Puisque les journalistes n’ont pas fait leur travail en vérifiant auprès de moi et de la mairie la véracité des faits décrits dans l’article paru le 25 janvier 2025 intitulé « Modification du PLU à Arbonne, Marie-José Mialocq mise en cause à titre personnel par le groupe d’opposition », il me semble important de rétablir la vérité des faits :
– Avril 2019 à mai 2020
Les propriétaires de Predonia présentent à la Mairie d’Arbonne un projet de construction d’un écoquartier sur leur propriété. Ce projet comprend 9 lots autour de la maison principale. Le projet repris par un bailleur social a été abandonné en raison de contraintes d’accès. Aucun permis de construire n’a été déposé.
– juillet 2020
Après cet abandon, suite à la demande écrite d’une des propriétaires, une proposition d’achat a été formulée par Mr Paul Mialocq pour développer une maison d’hôtes, dans la bâtisse existante, et ce sans la participation de Mr Dominique Mialocq. Cette offre n’a pas été retenue.
– avril 21
Les vendeuses déposent un permis d’aménager visant le détachement de trois lots sur 2 737 m². Malgré un avis favorable de la mairie, ce permis est refusé le 6 août 2021 pour insuffisance des réseaux sur avis de l’Agglomération Pays Basque.
– 2022.
Vente de la propriété totale par les propriétaires. La Mairie tente, sans succès, d’obtenir 3900m2 en contrebas de la propriété (qui fait au total 1ha) pour construire quelques logements sociaux.
– 2024
Lors de la Modification du PLU la Mairie réaffirme la volonté municipale de construire des logements sociaux sur la partie basse de la parcelle, jouant simplement son rôle de détecteur d’opportunités pour développer des logements sociaux. Ce projet suppose également des améliorations de l’accès en épingle à cheveux, avec un emplacement réservé prévu à cet effet.
Comment peut-on à partir de ces faits parler de pressions familiales ?
Comment peut-on mettre en cause l’intégrité et l’honnêteté d’une famille ?
C’est de la diffamation pure et simple et une très suspecte volonté de nuire.
Dans ce contexte, Madame la maire et le groupe majoritaire affirment avec la plus grande fermeté qu’ils se réservent le droit d’engager sans délai des poursuites judiciaires pour diffamation à l’encontre des auteurs des propos calomnieux et diffamatoires.